L'ex-avocat de Donald Trump utilise Google Bard et soumet au tribunal trois précédents judiciaires totalement inventés!
11 mois ago · Updated 11 mois ago
Donald Trump est un gag à lui tout seul, mais son avocat Michael Cohen ne fait guère mieux. Utiliser l'intelligence artificielle pour plaider au Tribunal, c'est pas forcément une bonne idée quand l'IA hallucine et invente des cas de jurisprudence.
Quand la justice flirte avec la fiction, les prétoires deviennent théâtres d'absurde, révélant les risques et les dérives de l'IA dans le monde juridique.
Une toge et une recherche Google Bard : quand les prétoires se transforment en scènes de comédie
Imaginez un tribunal où le juge demande aux avocats de sortir leurs smartphones et de googler les précédents judiciaires ! Plus besoin de se plonger dans de poussiéreux bouquins de lois, notre ami Google vient au secours des juristes en mal de références. Et pourquoi pas une compétition de celui qui tombera sur le plus d’onglets douteux en plein milieu d’un plaidoyer ? Suspense et fous rires garantis.
En matière de décorum, finie la sobriété ! Place à des toges pixelisées ou à motifs emoji pour que nos honorables avocats ressemblent à de vrais combattants d'Arena 2.0. Les preuves ? Elles sont désormais présentées via des GIFs animés, parce qu'une bonne réaction vaut mieux qu'un long discours, n'est-ce pas ?
L'art de défendre l'indéfendable : précédents judiciaires fictifs et vraies conséquences
Vous pensiez que la défense d'Harry Potter pour usage abusif de magie dans une zone non magique était un cas isolé ? Détrompez-vous ! Les prétoires modernes font désormais appel à une bibliothèque de cas fictifs pour illustrer des points de droit. Qui aurait cru que l’héritage de Bilbon Sacquet ferait jurisprudence en matière de droit familial ?
Qui a dit que l'absurde n'avait pas sa place en droit ? Avec des avocats argumentant que leur client, un robot, avait une émotion vraie lorsqu'il a commis le délit, le futur des cours de justice ressemble à une science-fiction. Oui, oui, il semblerait que les jurés aient même versé une larme... d'huile, évidemment.
Le juge, le clavier et la crédulité : comment l'IA peut réinventer (ou détruire) le droit
Ah, l’IA, cette merveilleuse invention censée simplifier nos vies. Dans les tribunaux, les juges sont dépassés non pas par les dossiers, mais par les mises à jour logicielles. Ils doivent désormais apprendre à coder pour suivre le rythme des plaidoyers automatisés qui comparent des millions de cas en quelques millisecondes.
Et que se passe-t-il quand l'IA tombe en panne en plein verdict ? Panique générale, avocats qui retournent précipitamment à leurs vieux codes civils et un public qui se sent soudain nostalgique des bons vieux tribunaux où les humains étaient lents, mais sûrs. C’est la sécurité de la robe noire en coton plutôt que l'incertitude de l'algorithme sans âme qui a la cote. C’est ça, le vrai spectacle juridique du futur !
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